mardi 24 janvier 2012
Le Bourget
Ce fut un élan irrésistible où soudain tout pouvait devenir juste, où demain devenait un espoir, où l'arbitraire, le favoritisme, la médiocrité, l'injustice sociale étaient bannis. Quel plaisir d'entendre s'exprimer à la tribune des idées que vous imaginiez n'être que les vôtres. Et puis, l'intelligence, la subtilité avec lesquelles ce discours fut prononcé nous change tellement de ceux écrits par Guaino et lus par Sarkozy, sans conviction. J'espère que ce premier rendez-vous du Bourget aura permis aux gens de mesurer la différence.
samedi 14 janvier 2012
Le triple A
Aujourd'hui 14 janvier 2012, je lance un appel solennel à mes lecteurs:
"Auriez-vous trouvé au hasard de vos pérégrinations, un A ?"
En effet, depuis hier, la France a perdu son "A" et je me demande si vous réalisez bien l'aspect dramatique de cette situation ? Je me demande si vous vous rendez compte de l'infirmité désormais rédhibitoire qui afflige notre pays dans les milieux financiers ?
D'ailleurs, les experts économiques enseignant ces disciplines qui, à la Fac de Machin, qui, à la Fac de Truc, nous donnent leurs avis sur les ondes de manière péremptoire depuis plusieurs semaines afin de bien nous mettre en condition pour, finalement, nous annoncer que nous devrons mettre, encore et toujours, la main à la poche. Ces experts nous exposent la situation à coup de milliards qu'ils brassent sans vergogne, à coup de pourcentages qu'ils manipulent habilement, laissant pantois le contribuable. Mais lorsqu'on essaie de sortir de cette virtualité et de débarrasser l'information de toutes ces gesticulations oratoires, on s'aperçoit que cette annonce de la perte du triple A n'est que l'officialisation d'une situation déjà bien établie et bien connue dans notre pays. Alors, qu'on arrête de nous bassiner avec ces symboles financiers qui ne représentent finalement pas grand-chose pour le citoyen lambda qui connaît, hélas, déjà toute les vicissitudes d'une économie très malade.
Quant aux agences de notation, elles font la démonstration de leur puissance et de leur aptitude à diriger le monde. On constate en effet la fragilité des gouvernements devant l'impact de ces agences qui décrètent les capacités de tel ou tel pays dans un monde où seul,l'argent, est une référence. Dans ces conditions peut-on estimer que ces classements procèdent d'un jugement objectif quand il suffit d'annoncer cette amputation pour que le pays concerné, déjà en difficulté, subissent des taux exorbitants qui les enfonceront un peu plus dans les abîmes de la récession?
Alors, je vous en conjure chers lecteurs, si vous trouvez un "A", faites-le vite parvenir à l'agence de notation Standard et Poor's!
(Revoir texte "Prémonition" du 16/10/2011 publié à l'adresse 08-21)
"Auriez-vous trouvé au hasard de vos pérégrinations, un A ?"
En effet, depuis hier, la France a perdu son "A" et je me demande si vous réalisez bien l'aspect dramatique de cette situation ? Je me demande si vous vous rendez compte de l'infirmité désormais rédhibitoire qui afflige notre pays dans les milieux financiers ?
D'ailleurs, les experts économiques enseignant ces disciplines qui, à la Fac de Machin, qui, à la Fac de Truc, nous donnent leurs avis sur les ondes de manière péremptoire depuis plusieurs semaines afin de bien nous mettre en condition pour, finalement, nous annoncer que nous devrons mettre, encore et toujours, la main à la poche. Ces experts nous exposent la situation à coup de milliards qu'ils brassent sans vergogne, à coup de pourcentages qu'ils manipulent habilement, laissant pantois le contribuable. Mais lorsqu'on essaie de sortir de cette virtualité et de débarrasser l'information de toutes ces gesticulations oratoires, on s'aperçoit que cette annonce de la perte du triple A n'est que l'officialisation d'une situation déjà bien établie et bien connue dans notre pays. Alors, qu'on arrête de nous bassiner avec ces symboles financiers qui ne représentent finalement pas grand-chose pour le citoyen lambda qui connaît, hélas, déjà toute les vicissitudes d'une économie très malade.
Quant aux agences de notation, elles font la démonstration de leur puissance et de leur aptitude à diriger le monde. On constate en effet la fragilité des gouvernements devant l'impact de ces agences qui décrètent les capacités de tel ou tel pays dans un monde où seul,l'argent, est une référence. Dans ces conditions peut-on estimer que ces classements procèdent d'un jugement objectif quand il suffit d'annoncer cette amputation pour que le pays concerné, déjà en difficulté, subissent des taux exorbitants qui les enfonceront un peu plus dans les abîmes de la récession?
Alors, je vous en conjure chers lecteurs, si vous trouvez un "A", faites-le vite parvenir à l'agence de notation Standard et Poor's!
(Revoir texte "Prémonition" du 16/10/2011 publié à l'adresse 08-21)
mercredi 4 janvier 2012
La pensée du jour
La méchanceté et l'arrogance ne sont pas incompatibles avec la bêtise.
Ce matin, j'ai écouté Nadine Morano sur France Inter....
Quant à Sophia Aram, elle a toute mon admiration.
Ce matin, j'ai écouté Nadine Morano sur France Inter....
Quant à Sophia Aram, elle a toute mon admiration.
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