La longue période électorale s'achève et on sent nettement comme un désoeuvrement chez les Médias.
Habitués pendant ces cinq dernières années au climat particulier des petits conflits de cour d'école, aux coups bas politiques, aux niaiseries peoples et autres futilités du genre, les journalistes ont du mal à se réadapter à un travail d'adulte. On le sent bien, aujourd'hui encore, ils ne peuvent guère s'empêcher de focaliser l'attention des auditeurs sur le tweet de Trierweiler ou sur la petite phrase insolite qui devient très vite une déclaration intempestive. Ils continuent d'être à l'affût du moindre détail qui pourrait favoriser l'audience. C'est que les habitudes ne se perdent pas aussi facilement et que de ce point de vue, nous venons de vivre cinq années de médiocrité informative. Alors "stop", arrêtez là ce "patouillage" dans lequel vous sembliez vous complaire. Depuis le 17 juin, le monde a changé messieurs les chroniqueurs, alors redevenez des adultes et posez des questions d'adulte à des gens responsables.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire