Le pet,
le saviez-vous les pets de vaches nuisent à l'environnement et contribuent à faire de l'agriculture la principale source de gaz à effet de serre au sein de l'union européenne !?
Ces informations émises, sans effet de serre, nous sont fournies par Eurostat, organisme européen de statistiques, comme son nom l'indique, et qui admet que, loin derrière la production d'énergie, l'agriculture serait cependant devant tous les autres secteurs. Et encore, cet organisme n'a sans doute pas tenu compte du pet d'agriculteur qui, souvent en pleine nature, profite sans doute de cette solitude, dans un souci de convenance et de correction, pour se soulager des flatulences bien naturelles qui l'encombrent. Il s'agit là d'un réel problème de société et il devient urgent d'accorder des crédits supplémentaires à la recherche afin de remédier à ce phénomène.
Emu par cette information, j'entretenais d'ailleurs un ami sur le sujet récemment et celui-ci, qui ne manque pas d'humour, suggérait d'équiper les vaches d'un pot catalytique. Quant aux humains, il faudra sans doute envisager une réduction sur la consommation des féculents, la greffe d'un pot catalytique risquant de creuser un trou.... celui de la sécurité sociale! N'est-ce pas tout cela le pet qui cache le gros "caca" !?
Mais, trêve de propos scatologiques, que peut bien représenter le pet de vache dans l'énorme pollution générée par les activités humaines ? Sachons enfin que ce ne sont pas toujours les vents les plus odorants les plus dangereux à notre santé, mais quand on pense que des gens sont payés pour effectuer ce genre de recherches, avouez qu'il y a de quoi avoir mal au ventre et qui dit mal au ventre dit.......!!
mardi 13 octobre 2009
mardi 31 mars 2009
L'outrage n'était que dans le regard
Récemment, notre omniprésident omniscient, nous gratifiait d'un discours trè lénifiant à St Quentin, ponctué par des salves d'applaudissements d'un auditoire totalement dévoué à sa cause. Les autres, ceux qui n'affichent pas la même complaisance à l'égard de la politique actuelle, se trouvaient retenus à distance respectueuse par de nombreuses forces de police.
Il faut bien que nos impôts servent à quelque chose....!
- "Vous voulez savoir ce que j'ai dit !?
- Eh bien, je vais vous le dire !"
J'ai fustigé les patrons en leur faisant une leçon de morale et en leur rappelant l'éthique sur l'honnêteté ( pour rire bien sûr, c'est quand même mon électorat, sans doute le seul qui me reste aujourd'hui). Donc, pas de décision législative concernant les patrons, mais une telle évidence dans mes propos que ceux-ci faisaient l'unanimité de mes opposants puisque tout mon discours consistait à dénoncer les abus que tout le monde condamne.Si cela, ce n'est pas de la stratégie politique alors là!
Tressautant de l'épaule, le regard parfois levé au ciel, implorant je ne sais quel Dieu, Sarko se lança dans une diatribe sur les grands patrons qui aurait ravi Besancenot !
Percevoir de grosses rémunérations quand votre société est en situation d'échec, ce n'est pas honnête,ce n'est pas responsable, disait-il. Percevoir des parachutes dorés pour récompenser un mauvais travail alors qu'on met en place dans le même temps un plan de licenciements pour virer des gens qui eux, travaillaient bien, ce n'est pas honnête, ce n'est pas responsable, poursuivait-il, et enfin, distribuer de gros dividendes aux actionnaires avec les aides de l'Etat n'est pas honnête, n'est pas responsable, concluait-il.
Qui donc en effet pourrait contester celà!?
Mais ce rappel déontologique me semble incomplet et Sarko s'est bien gardé de citer un autre exemple aussi choquant lorsqu'il décida au lendemain de son élection à la tête de l'Etat, de multiplier son salaire par 40 alors que notre pays, pas encore dans la crise, connaissait déjà des déficits abyssaux !
Est-ce bien honnête, n'est-ce pas irresponsable Monsieur le Président !?
Est-ce bien décent ce voyage au Mexique alors que la France compterait actuellement plus de 7000000 de pauvres? Non, vraiment Monsieur le Président, ce n'est pas honnête, ce n'est pas digne de votre responsabilité........
A force de souffler du vent, vous allez finir par provoquer la tempête et, finalement, quand, on vous écoute, on s'aperçoit que vous êtes plus incendiaire que pompier.
Il faut bien que nos impôts servent à quelque chose....!
- "Vous voulez savoir ce que j'ai dit !?
- Eh bien, je vais vous le dire !"
J'ai fustigé les patrons en leur faisant une leçon de morale et en leur rappelant l'éthique sur l'honnêteté ( pour rire bien sûr, c'est quand même mon électorat, sans doute le seul qui me reste aujourd'hui). Donc, pas de décision législative concernant les patrons, mais une telle évidence dans mes propos que ceux-ci faisaient l'unanimité de mes opposants puisque tout mon discours consistait à dénoncer les abus que tout le monde condamne.Si cela, ce n'est pas de la stratégie politique alors là!
Tressautant de l'épaule, le regard parfois levé au ciel, implorant je ne sais quel Dieu, Sarko se lança dans une diatribe sur les grands patrons qui aurait ravi Besancenot !
Percevoir de grosses rémunérations quand votre société est en situation d'échec, ce n'est pas honnête,ce n'est pas responsable, disait-il. Percevoir des parachutes dorés pour récompenser un mauvais travail alors qu'on met en place dans le même temps un plan de licenciements pour virer des gens qui eux, travaillaient bien, ce n'est pas honnête, ce n'est pas responsable, poursuivait-il, et enfin, distribuer de gros dividendes aux actionnaires avec les aides de l'Etat n'est pas honnête, n'est pas responsable, concluait-il.
Qui donc en effet pourrait contester celà!?
Mais ce rappel déontologique me semble incomplet et Sarko s'est bien gardé de citer un autre exemple aussi choquant lorsqu'il décida au lendemain de son élection à la tête de l'Etat, de multiplier son salaire par 40 alors que notre pays, pas encore dans la crise, connaissait déjà des déficits abyssaux !
Est-ce bien honnête, n'est-ce pas irresponsable Monsieur le Président !?
Est-ce bien décent ce voyage au Mexique alors que la France compterait actuellement plus de 7000000 de pauvres? Non, vraiment Monsieur le Président, ce n'est pas honnête, ce n'est pas digne de votre responsabilité........
A force de souffler du vent, vous allez finir par provoquer la tempête et, finalement, quand, on vous écoute, on s'aperçoit que vous êtes plus incendiaire que pompier.
lundi 16 février 2009
Le Berry embourbé
Lorsqu'on décrète sans concertation préalable, lorsqu'on passe outre l'avis général, lorsqu'on écoute mais qu'on n' entend pas, peut-on encore parler de démocratie ? Avez-vous remarqué comme notre quotidien s'imprègne chaque jour un peu plus d'injustices intolérables où la loi du plus fort prévaut sur toutes les raisons de bon sens?
Ainsi l'arrêté préfectoral autorisant l'épandage des boues au nord de notre département est un exemple de l'autoritarisme ambiant qui règne aujourd'hui en France. Bien sûr on multipliera les déclarations apaisantes pour rassurer la population, bien sûr, on poussera même l'audace à vous expliquer les aspects positifs d'une telle mesure et pour démontrer sa bonne foi, l'instance dirigeante vous affirmera que ces opérations d'épandage feront l'objet d'un contrôle rigoureux exercé par un organisme indépendant. A noter cependant que le SIAAP autorisé à épandre ces boues devra présenter un bilan tous les deux ans auprès du conseil départemental de l'environnement...? Pour quelle raison obscure l'organisme "indépendant" chargé de faire respecter "la rigoureuse réglementation", ne présente pas lui-même ce bilan !?
Autrement dit, un schéma classique d'une procédure bien connue quand il s'agit de faire avaler n'importe quoi aux gens !
L'excellente émission " pièces à conviction" diffusée le mercredi 11 février sur les déchets nucléaires en France, est à cet égard un exemple édifiant de l'omerta politique en la matière. Ces comportements-là devraient relever des tribunaux car il faut bien savoir qu'aujourd'hui et hélas, pour longtemps encore, des gens meurent à cause de l'inconséquence de nos instances dirigeantes trop souvent silencieuses.
Enfin, et dans un autre ordre d'idée, concernant le département du Cher en particulier, on remarquera avec quelles difficultés nos politiciens locaux ont du mal à obtenir des subventions pour améliorer nos infrastructures génératrices d'emplois alors que l'importation de calamités stériles dans ce domaine telles que ces boues parisiennes ne rencontrent jamais d'opposition majeure.
Notre département serait-il un lieu qu'on s'évertuerait à désertifier pour en faire une immense poubelle ?
Ainsi l'arrêté préfectoral autorisant l'épandage des boues au nord de notre département est un exemple de l'autoritarisme ambiant qui règne aujourd'hui en France. Bien sûr on multipliera les déclarations apaisantes pour rassurer la population, bien sûr, on poussera même l'audace à vous expliquer les aspects positifs d'une telle mesure et pour démontrer sa bonne foi, l'instance dirigeante vous affirmera que ces opérations d'épandage feront l'objet d'un contrôle rigoureux exercé par un organisme indépendant. A noter cependant que le SIAAP autorisé à épandre ces boues devra présenter un bilan tous les deux ans auprès du conseil départemental de l'environnement...? Pour quelle raison obscure l'organisme "indépendant" chargé de faire respecter "la rigoureuse réglementation", ne présente pas lui-même ce bilan !?
Autrement dit, un schéma classique d'une procédure bien connue quand il s'agit de faire avaler n'importe quoi aux gens !
L'excellente émission " pièces à conviction" diffusée le mercredi 11 février sur les déchets nucléaires en France, est à cet égard un exemple édifiant de l'omerta politique en la matière. Ces comportements-là devraient relever des tribunaux car il faut bien savoir qu'aujourd'hui et hélas, pour longtemps encore, des gens meurent à cause de l'inconséquence de nos instances dirigeantes trop souvent silencieuses.
Enfin, et dans un autre ordre d'idée, concernant le département du Cher en particulier, on remarquera avec quelles difficultés nos politiciens locaux ont du mal à obtenir des subventions pour améliorer nos infrastructures génératrices d'emplois alors que l'importation de calamités stériles dans ce domaine telles que ces boues parisiennes ne rencontrent jamais d'opposition majeure.
Notre département serait-il un lieu qu'on s'évertuerait à désertifier pour en faire une immense poubelle ?
vendredi 9 janvier 2009
Justice sociale suite...
Toute la question est de savoir si il existe des grands patrons honnêtes?
Je précise que le qualificatif de "grand" ne doit pas être interprété au sens noble du terme mais plutôt comme le signe distinctif d'autres patrons, certes plus modestes mais autrement plus honorables qui possèdent de vraies richesses, celles du savoir, de la sagesse et du bon sens. Le grand patron tel que je le conçois n'est finalement qu'un joueur de Monopoly qui se débat dans le gigantisme économique actuel qu'il a créé et dans lequel il ne serait rien sans la masse laborieuse qui le sert. Son Dieu: l'argent;son activité: la spéculation; son but: le pouvoir. Quant aux implications humaines de ses décisions, il en ignore totalement les conséquences. Il est vrai qu'une entreprise est comme une voiture, il lui faut un pilote. Or ces patrons-là ne pilotent même pas, ils se font conduire!
Tandis que le petit patron, "petit" n'étant pas réducteur, bien au contraire, lorsqu'il pense bénéfices, il pense pérennité de son entreprise, il pense maintien de l'emploi pour un monde qu'il connaît et qu'il apprécie. Sans vouloir faire du paternalisme, il faut bien reconnaître que le petit patron n'a rien de commun avec les PDG du CAC40. D'abord son savoir dans son activité lui donne l'autorité reconnue, la crédibilité indispensable et l'écoute nécéssaire à la transmission d'un savoir. Je crois même qu'il possède un certain sens de la justice sociale parce qu'il évolue justement dans un cadre à échelle humaine où, souvent, la similitude des difficultés existentielles aide à mieux comprendre l'autre.
Ne soyez pas sceptiques, il existe encore des patrons ainsi faits, mais hélas, ils deviennent si rares que lorsqu'on en rencontre un, on a l'impression de vivre un conte de Noël!
Je précise que le qualificatif de "grand" ne doit pas être interprété au sens noble du terme mais plutôt comme le signe distinctif d'autres patrons, certes plus modestes mais autrement plus honorables qui possèdent de vraies richesses, celles du savoir, de la sagesse et du bon sens. Le grand patron tel que je le conçois n'est finalement qu'un joueur de Monopoly qui se débat dans le gigantisme économique actuel qu'il a créé et dans lequel il ne serait rien sans la masse laborieuse qui le sert. Son Dieu: l'argent;son activité: la spéculation; son but: le pouvoir. Quant aux implications humaines de ses décisions, il en ignore totalement les conséquences. Il est vrai qu'une entreprise est comme une voiture, il lui faut un pilote. Or ces patrons-là ne pilotent même pas, ils se font conduire!
Tandis que le petit patron, "petit" n'étant pas réducteur, bien au contraire, lorsqu'il pense bénéfices, il pense pérennité de son entreprise, il pense maintien de l'emploi pour un monde qu'il connaît et qu'il apprécie. Sans vouloir faire du paternalisme, il faut bien reconnaître que le petit patron n'a rien de commun avec les PDG du CAC40. D'abord son savoir dans son activité lui donne l'autorité reconnue, la crédibilité indispensable et l'écoute nécéssaire à la transmission d'un savoir. Je crois même qu'il possède un certain sens de la justice sociale parce qu'il évolue justement dans un cadre à échelle humaine où, souvent, la similitude des difficultés existentielles aide à mieux comprendre l'autre.
Ne soyez pas sceptiques, il existe encore des patrons ainsi faits, mais hélas, ils deviennent si rares que lorsqu'on en rencontre un, on a l'impression de vivre un conte de Noël!
mardi 6 janvier 2009
Justice sociale
Paraît-il que la rémunération des dirigeants de grandes entreprises françaises aurait augmenté de 6%. Paraît-il également que parmi les patrons du CAC40, certains auraient encaissé en moyenne l'équivalent de 275 fois le smic!
Et pourtant, lorsqu'une entreprise a des difficultés, ce sont bien les smicards qu'on licencie pour en faire 275 chômeurs de plus aux ASSEDIC.
Dans ces conditions, ne serait-il pas judicieux et plus économique de licencier un patron qui ne produit pas de richesses et qui, en matière de volume salarial représente l'équivalence de 275 smic ?
On aurait dans cette hypothèse 275 familles sauvées ce qui d'un point de vue économique n'est pas négligeable, d'autant que 275 familles représentent un potentiel de consommation autrement plus important que la famille d'un PDG.
Et pourtant, lorsqu'une entreprise a des difficultés, ce sont bien les smicards qu'on licencie pour en faire 275 chômeurs de plus aux ASSEDIC.
Dans ces conditions, ne serait-il pas judicieux et plus économique de licencier un patron qui ne produit pas de richesses et qui, en matière de volume salarial représente l'équivalence de 275 smic ?
On aurait dans cette hypothèse 275 familles sauvées ce qui d'un point de vue économique n'est pas négligeable, d'autant que 275 familles représentent un potentiel de consommation autrement plus important que la famille d'un PDG.
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