Le pet,
le saviez-vous les pets de vaches nuisent à l'environnement et contribuent à faire de l'agriculture la principale source de gaz à effet de serre au sein de l'union européenne !?
Ces informations émises, sans effet de serre, nous sont fournies par Eurostat, organisme européen de statistiques, comme son nom l'indique, et qui admet que, loin derrière la production d'énergie, l'agriculture serait cependant devant tous les autres secteurs. Et encore, cet organisme n'a sans doute pas tenu compte du pet d'agriculteur qui, souvent en pleine nature, profite sans doute de cette solitude, dans un souci de convenance et de correction, pour se soulager des flatulences bien naturelles qui l'encombrent. Il s'agit là d'un réel problème de société et il devient urgent d'accorder des crédits supplémentaires à la recherche afin de remédier à ce phénomène.
Emu par cette information, j'entretenais d'ailleurs un ami sur le sujet récemment et celui-ci, qui ne manque pas d'humour, suggérait d'équiper les vaches d'un pot catalytique. Quant aux humains, il faudra sans doute envisager une réduction sur la consommation des féculents, la greffe d'un pot catalytique risquant de creuser un trou.... celui de la sécurité sociale! N'est-ce pas tout cela le pet qui cache le gros "caca" !?
Mais, trêve de propos scatologiques, que peut bien représenter le pet de vache dans l'énorme pollution générée par les activités humaines ? Sachons enfin que ce ne sont pas toujours les vents les plus odorants les plus dangereux à notre santé, mais quand on pense que des gens sont payés pour effectuer ce genre de recherches, avouez qu'il y a de quoi avoir mal au ventre et qui dit mal au ventre dit.......!!
1 commentaire:
La situation est d'autant plus préoccupante que les nombres de vaches, de moutons vont augmenter considérablement dans les années à venir sous l'effet de la croissance démographique et de développement. D'ici à 2050, la production mondiale de viande pourrait même doubler (passant de 229 millions de tonnes au début des années 2000 à 465 millions).
On a remarqué que certains additifs alimentaires (notamment à base d'huile végétale) diminuent le volume de ces émissions. De même une alimentation riche en céréales et faible en fibres permet une prédigestion plus rapide et produit de ce fait moins de fermentation. Surtout, à partir de recherches effectuées sur le kangourou, un ruminant lui aussi, mais qui n'émet pas de méthane. On a repéré les agents (les micro-organismes méthanogènes comme l'ont dit) qui, dans la flore de cet animal, évitent à l'hydrogène de se transformer en méthane. Un vaccin améliorant la flore digestive du bétail pourrait bien être la solution. Quant à savoir si les vaches aimeront autant regarder passer les trains avec ces nouvelles modalités de digestion, c'est une autre histoire...
Tout cela pour dire qu'il y a des études pour cela mais que cela n'empêchera pas les gens d'aller chercher leurs rejetons à la sortie de l'école avec leur "Enorme" 4X4 pour quelques centaines de mètres à faire :D
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